=> Travaux dans un logement loué
Madame V locataire a eu des soucis avec son bailleur par rapport aux travaux non réalisés dans son logement.
En effet, à son arrivée dans le logement, le sol était en mauvais état, suite aux travaux mal exécutés par son prédécesseur.
Souhaitant réparer le sol, Madame V a fait une demande auprès de son bailleur, qui lui a fait savoir après plusieurs relances ( restées sans suite ) que cela coûterait 283 €, et qu’il ne pouvait contribuer qu’à hauteur de 14 euros … Le reste étant à la charge du locataire.
Madame V a donc décidé de faire appel à la CLCV pour trouver une solution beaucoup plus favorable.
Après plusieurs échanges avec le bailleur, nous avons obtenu de celui-ci la prise en charge de l’intégralité des travaux, conformément à la loi.
=> Facture d'eau exhorbitante
Mr A. a reçu au mois d’Avril une facture de son fournisseur d’eau d’un montant de 3914,69€ représentant le solde des années 2021-2022. A noter que notre adhérent n’avait jamais reçu auparavant de la part de son fournisseur ni courrier, ni facture liés à un relevé de consommation.
MR A, très perturbé par l’exorbitant montant demandé, a fait appel à notre association.
Suite à des négociations âpres, mais aussi la bienveillance de notre interlocuteur, Mr A a pu avoir une importante réduction sur sa facture, et l’établissement d’un échéancier pour l’épurement de la somme.
=> Augmentation injustifiée loyer
MR C. est locataire depuis 2004 ; le paiement de ses loyers se faisait sans aucun souci jusqu’au jour où, le bailleur décide de confier la gestion du bien à une agence immobilière en janvier 2022.
En janvier 2022 Mr C reçoit un courrier de l’agence l’informant que dorénavant, elle est gestionnaire du bien et qu'il est à présent redevable d’un nouveau loyer !
Le loyer (avec les charges) de Mr C est passé de 385,00 € à 465,00 €, soit 80 € de plus sans justification.
Mr C est venu à notre rencontre afin que l’on prenne son dossier en charge.
Après plusieurs échanges avec l’agence immobilière, où nous avons fait valoir que l’augmentation n’était pas légale par rapport à l’indice de révision des loyers - IRL, une augmentation de seulement 3€ a été appliquée conformément à cette réglementation.
=> Madame et Monsieur G. de Tours Sud ont fait appel à un célèbre cuisiniste pour ré-agencer leur cuisine avec un nouvel équipement électroménager pour un montant de 13 440,33 euros (acompte de 3 350 €)
Une fois la commande validée par un vendeur, puis la visite d’un responsable technicien au domicile de nos adhérents, il a été demandé la somme de 10 090,33€.
Avant l’installation définitive, un responsable commercial et un responsable technique se sont déplacés de nouveau au domicile de Monsieur et Madame G pour vérifier les côtes.
Malheureusement lors de l’intervention prévue sur 2 jours, les meubles n’ont pu être installés.
5 nouvelles interventions ont alors eu lieu par la suite, sans succès, car les côtes étaient erronées.
Compte tenu qu’au bout d’une année, l’installation de la cuisine n’était toujours pas conforme à la commande initiale, Monsieur et Madame G ont fait appel à notre association.
Après de multiples échanges par courriers, mails et téléphones, nous sommes parvenus à obtenir une dernière intervention conforme, avec une remise de plus de 300€ pour le préjudice.
=> Monsieur et Madame B. sont démarchés à leur domicile par une société de travaux d’isolation énergétique pour une intervention dans leurs combles.
Suite à cette intervention, les deux commerciaux se déplacent de nouveau chez nos adhérents pour vérifier le travail et en profitent pour proposer un nouveau bon de commande « isolation » d’un montant de 4547,40€.
Comme Monsieur et Madame B. se montrent réticents à effectuer cette nouvelle intervention, les commerciaux indiquent que cela est obligatoire dans les résidences anciennes, et qu’à défaut ils s’exposeraient à une sanction !
Le nouveau bon de commande est hélas signé, mais après renseignements Monsieur B. apprend que cette nouvelle intervention n’est aucunement obligatoire.
De ce fait, il contacte l’entreprise mais cette dernière refuse d’annuler le bon de commande.
Ils font appel à notre association qui rappelle les devoirs et obligations du professionnel et les sanctions encourues.
Deux semaines après, nous recevons la confirmation de l’annulation du bon de commande sans frais.
=> Comment faire face aux arnaques téléphoniques ?
Ce lundi 17 janvier, Marie-Claude Fourrier, Co Présidente CLCV Touraine était l'invité de France Bleu Touraine. Plusieurs réflexes simples à adopter pour éviter de se faire voler de l'argent. Témoignages et conseils en direct.
Ecoutez l'émission :
=> Monsieur C suite au décès de son frère a eu la surprise d’apprendre que son assurance ne prenait pas en charge l’assurance décès souscrite par ce dernier.
La raison invoquée par l’assureur est que l’assuré prenait un traitement médical.
Malgré un courrier de Monsieur C l’assureur n’a pas donné de suite favorable.
Nous avons pris son litige en charge et avons envoyé un courrier à l’assureur avec preuve que l’assuré ne suivait aucun traitement médical et que la cause de son décès est naturelle.
Quelques jours après la réception de notre courrier, notre adhérent a appris un changement de la part de l’assureur qui va finalement prendre en charge la garantie souscrite au préalable.
=> Madame Ra été victime d’une pause de son système de chauffage (radiateurs) de Octobre 2020 à Février 2021, le modèle étant en rupture de stock elle est en attente d’un modèle compatible.
Notre adhérente pendant ce temps a été hébergée dans sa famille toutefois son bailleur prélève malgré tout les 4 mois de loyers ainsi que les charges liées au chauffage.
Par conséquent, elle demande que ces prélèvements lui soient restitués, mais sans bailleur ne lui apporte aucune réponse.
L’association envoie un courrier dans ce sens, 15 jours après une réponse favorable nous est apportée avec une somme de 883,08 euros correspondant à 4 mois de loyers et de charges de chauffage.
Ces deux sommes viennent en avoir sur les prochaines échéances de loyers.
=> Un adhérent a envoyé un colis assuré pour une valeur de 1 000 €. Or ce dernier n’est jamais arrivé à destination.
Malgré plusieurs échanges avec les services de la Poste et une demande de remboursement,notre adhérent ne parvenait pas à obtenir gain de cause.
Il a donc fait appel à la CLCV Touraine qui a obtenu, en moins d’un mois, le remboursement demandé depuis plus de 4 mois !
=> Monsieur M. du département du Loiret a demandé à de nombreuses reprises, une intervention de la part de son fournisseur d’énergie (Energies Leclerc) car son compteur était défectueux. La seule réponse apportée a été la proposition d’une vérification visuelle du compteur.
Notre adhérent a alors dû faire intervenir un électricien afin de réparer cette panne. Ce dernier a alors procédé au démontage du compteur pour résoudre le dysfonctionnement.
N’obtenant pas réponse de la part du fournisseur, Monsieur M. a fait appel à notre association afin d’obtenir de l’aide.
Nous avons échangé plusieurs fois avec le fournisseur d’énergie qui a finalement changé le compteur défectueux.
=> Madame G est venue nous consulter pour le compte de sa maman qui, suite à un démarchage téléphonique, a été livré de 12 bouteilles de vin pour une facture de 984,00 €, payée en 3 fois par chèque.
Cette personne étant âgée de 87 ans, n’a pas compris l’objet de l’appel, de plus elle ne consommait pas de vin, mais selon elle « le vendeur était très gentil et poli ».
Madame G a dans un premier temps appelé l’entreprise afin de demander une reprise de la marchandise et un remboursement, mais sans succès. Le professionnel a répondu que le délai de rétractation était dépassé et que sa cliente n’était pas sous mesure de protection judiciaire.
Suite à ce refus, nous avons pris le dossier en main en envoyant un premier courrier au professionnel en lui indiquant que la vente n’a pas été réalisée dans les règles.
Ce dernier a avancé les mêmes arguments que ceux donnés à Madame G. Par conséquent nous avons réitéré la demande de remboursement (avec rappel à la loi) , et fait un signalement auprès des autorités compétentes.
Grâce à ce deuxième courrier, nous avons obtenu pour notre adhérente la reprise de la marchandise sans frais et le remboursement de la somme de 984.00 €. À noter que le professionnel a été sanctionné.
=> Madame P. souhaitant faire réparer son vélo grâce à l’aide gouvernementale « Coup de pouce vélo », elle consulte le site internet indiquant les démarches à suivre.
Elle fait appel au réparateur de sa commune. Ce dernier lui confirmant être réparateur agréé, elle lui a confié son vélo.
Quelques jours plus tard, elle retourne chez ce professionnel afin de récupérer son vélo et on lui présente une facture de 51,60 € sans réduction correspondante à l’aide gouvernementale.
Ne comprenant pas cette facture, notre adhérente sollicite le réparateur par mail et par téléphone, mais sans succès.
Via notre site internet, elle prend contact auprès de l’une de nos permanences. Un courrier est envoyé au professionnel pour tromperie. Un échange téléphonique a lieu, et ce dernier a finalement intégralement remboursé Madame P.
=> Monsieur G. a loué auprès de l’entreprise SIXT un véhicule pour une durée de 3 jours.
Notre adhérent récupère le véhicule auprès de l’agence, sans état des lieux de la voiture et restitue les clés 3 jours après comme convenu.
Lors de la restitution, le professionnel récupérant le véhicule indique plusieurs dégradations. Notre adhérent refuse alors de signer le document en indiquant que les dommages répertoriés ne sont pas de son fait.
Un mois après, Monsieur G. reçoit un courrier avec une facture s’élevant à 1 135 € relative aux frais de réparations et au coût d’une expertise.
Nous avons réalisé un courrier à destination du loueur en lui rappelant notamment ses droits et obligations.
Moins d’une semaine après, nous avons reçu une réponse indiquant l’annulation de la facture totale.
=> Madame R. a conclu un contrat de gaz et électricité avec le fournisseur ENI puis a décidé de se rétracter durant le délai légal, en envoyant une lettre recommandée.
N’ayant pas de retour de la part du fournisseur d’énergie, elle envoie un second courrier en recommandé afin d’avoir une confirmation.
Un mois après ce deuxième courrier, elle reçoit un appel de la part d’un conseiller du fournisseur d’énergie lui indiquant que sa rétractation a bien été prise en compte.
Or, le mois suivant, un premier prélèvement est effectué. Étant adhérente à notre association, elle décide de nous confier le dossier.
Après plusieurs courriers et appels au fournisseur d’énergie, nous obtenons le remboursement des prélèvements d’un montant de 699,84 €.
=> Monsieur P. avait un contrat chez le fournisseur de téléphonie SFR. Après un divorce ce dernier déménage dans une maison située en zone non couverte dite « zone blanche ».
Par conséquent, il demande la résiliation de son contrat sans frais. Or des frais de résiliation lui sont demandés.
Malgré de nombreux échanges avec les services de l’opérateur, rien ne change.
De ce fait, Monsieur P. a fait appel à notre association. Grâce à nos différentes démarches auprès de SFR, nous avons pu obtenir la résiliation sans frais de son contrat.
=> Monsieur F. nous a contactés suite à une demande de régularisation de son assurance santé de groupe (trop perçu de 580,00 € correspondant à un remboursement d’optique).
Monsieur F a été licencié de son entreprise en novembre 2020 où il bénéficiait d’une assurance santé de groupe. Puis, il a été pris en charge par l’assurance chômage, jusqu’à sa reprise d’un nouvel emploi en mars 2021.
En Février 2021, il a consulté un ophtalmologue, qui lui a prescrit des lunettes.
La facture de l’opticien a été expédiée à sa mutuelle pour le montant du « reste à charge » de 580 €. Le remboursement a bien été effectué.
Or, la mutuelle réclame quelques mois plus tard la somme, prétendant que Mr F ne pouvait pas bénéficier de ce remboursement, sachant qu’il ne pouvait plus être assuré ayant quitté l’entreprise en Novembre 2020.
Notre association a rappelé à cette complémentaire santé que le salarié conserve, selon la loi en vigueur, le bénéfice de sa mutuelle de groupe pendant une durée d’un an (sans acquitter de cotisation), dans la mesure où il perçoit l’assurance chômage.
Compte tenu que notre adhérent a repris un emploi seulement le 8 mars 2021, il devait bénéficier donc toujours de son assurance santé de groupe en février 2021.
En conséquence, la mutuelle a annulé sa procédure et envoyé, la semaine suivant notre intervention, la quittance d’assurance à Mr F.
=> Monsieur et Madame M. ont résilié leur abonnement chez Canal Plus pour cause de mutation professionnelle et impossibilité de réception du service dans leur nouveau logement.
Néanmoins, leur demande n’a pas été prise en compte et les prélèvements ont continué d’être effectués.
Malgré 5 courriers envoyés en LR avec AR expliquant leur situation, et contestant les 3 dernières factures, la situation n’a pas évolué.
Suite à notre intervention, Monsieur et Madame M. ont obtenu l’annulation des 3 dernières factures (143,74 €), le remboursement du dépôt de garantie pour le matériel (75,00 €) ainsi que le remboursement des frais postaux (38,10 €) et cela en mois de 10 jours.